Écouter le corps dans le deuil – Ce qu’il a à nous dire

Quand on traverse un deuil, on pense souvent au chagrin, aux émotions, à la peine du cœur.

Mais on oublie parfois que le corps aussi porte le deuil.

Il serre, fatigue, se referme. Il somatise ce qu’on n’ose pas dire. Il envoie des signes, parfois subtils, parfois bruyants. Et souvent, on ne l’écoute pas. Ou plus.

Pourtant, il est là. Il sait. Il garde la mémoire.

Le deuil a une empreinte physique

Le deuil peut prendre la forme d’une boule dans la gorge, de douleurs dans la poitrine, d’un dos tendu, d’un souffle court, d’une fatigue écrasante.

C’est normal.

Le choc, l’absence, les émotions retenues… tout cela s’imprime quelque part.

Écouter son corps dans le deuil, c’est commencer à reconnaître que ce que l’on vit est réel. C’est offrir un espace à ce qui ne passe pas par les mots.

Le corps comme allié de la traversée

Les pratiques psychocorporelles que je propose permettent de remettre du mouvement, du souffle, du lien dans un corps figé par le chagrin.

Pas à pas, sans forcer.

Cela peut être un travail sur la respiration, l’ancrage, des mouvements doux, une attention aux sensations.

Le corps, quand on l’écoute avec tendresse, devient un guide, un espace de ressources. Un repère. Il ne juge pas. Il ne ment pas. Il nous ramène à l’instant présent.

Une écoute sensible et enveloppante

Ici, il n’y a rien à réussir.

Juste à sentir, à habiter, à accueillir ce qui est là, dans ton corps, dans ton souffle, dans ta posture.

Et je suis là pour t’accompagner, sans rien forcer, avec toute la douceur que ce passage demande.

« Le corps est un langage oublié que le silence du deuil remet doucement en lumière. » – Nicole Sarauer pour Vai Mahana

La première rencontre est offerte.

Si tu ressens l’appel d’un accompagnement qui passe aussi par le corps, je suis là.

Présente, à l’écoute, respectueuse de ton rythme.